des citations

Ici vous direz des citations plus ou moins connues par exemple:
Dire que ce produit est nul revient à dire qu'au moins un de ces facteurs est nul" dixcit prof de maths ^^ ou bien "j'attends les chars et les américains" dixcit Pétain

<<Quand on brûle un livre, on brûle un homme>>dixit...euh je sais plus qui!

Une que je trouve très vraie :
"Le totalitarisme dit Ferme ta gueule !, la démocratie dit Cause toujours..."

Le 18 Octobre 1967, su la Place de la Révolution, Fidel Castro informe le demi million de cubains présents de la mort du Commandant Ernesto Che Guevara : « Tu as disparu physiquement, mais ton image et tes idéaux restent et resteront présents en nous, parce que ceux-là ils ne pourront jamais les tuer avec des balles ».

Clochette a écrit:

Une que je trouve très vraie :
"Le totalitarisme dit Ferme ta gueule !, la démocratie dit Cause toujours..."

c'est bien vrai!!!!

" on ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve>>Hérodote

"Pendant la première guerre mondiale, il ya avait la guerre..."
dixit moi

Arkadius a écrit:

"Pendant la première guerre mondiale, il ya avait la guerre..."
dixit moi

Ah ouais d'accord...
Quel sens de la déduction...

lol...

Clochette a écrit:

Arkadius a écrit:

"Pendant la première guerre mondiale, il ya avait la guerre..."
dixit moi

Ah ouais d'accord...
Quel sens de la déduction...

Une citation dans bel-ami de maupassant:
"les femmes sont le marchepied de l'homme"
je tiens à préciser que je n'ai rien contre la gente féminine c'est juste une citation parceque je n'ai pas d'idée.....

Clochette a écrit:

Arkadius a écrit:

"Pendant la première guerre mondiale, il ya avait la guerre..."
dixit moi

Ah ouais d'accord...
Quel sens de la déduction...

<<les etats-unis c'est des etats qui sont unis>>dixit les élèves:joker:

ne fait pas l'amour dans ton jardin : l'amour rend aveugle, mais pas ton voisin

manon a écrit:

ne fait pas l'amour dans ton jardin : l'amour rend aveugle, mais pas ton voisin

Lardon2 a écrit:

manon a écrit:

ne fait pas l'amour dans ton jardin : l'amour rend aveugle, mais pas ton voisin

" Pour parler de la guerre, il n y a que les larmes"

"Sans le malheur où serait l'histoire?

Lardon2 a écrit:

" on ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve>>Hérodote

non c'est Héraclite qui a dit ça, pour signifier que tout est en perpétuel changement, par opposition à Parménide qui disait que tout est éternel. enifn bon ^^

glasses a écrit:

Lardon2 a écrit:

" on ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve>>Hérodote

non c'est Héraclite qui a dit ça, pour signifier que tout est en perpétuel changement, par opposition à Parménide qui disait que tout est éternel. enifn bon ^^

Dans notre cahier d'histoire y a marqué Hérodote

je pensais que c'était Hérodote moi aussi

Leodric a écrit:

je pensais que c'était Hérodote moi aussi

oui moi aussi c'est Rieu qui l'a dit!
Atendez je vias voir sur le net!

C'est bien Héraclite d'Ephèse, mais j'ia regardé dans mon cahier et y a marqué Hérodote. En plus j'ia eu bon au contrôle quand j'ia mis Hérodote Franchement, Rieu me déçoit

"Ben oui, si deux points sont alignés, c'est pour la vie!"
dixit A., élève de ma classe en quatrième qui tentait d'expliquer à son voisin un théorème.

"Carregga aimait faire équipe seul", Daniel Pennac, La petite marchande de prose

"faire la guerre à la Pyrrhus"
Pyrrhus Ier, en grec ancien Πύῤῥος / Pýrrhos (v. 318 – Argos, 272 av. J.-C.), roi des Molosses à partir de 297, hêgemôn d'Épire de 306 à 302 puis de 297 à 272.

prétendait descendre d'Achille et était un parent éloigné d'Alexandre. Le père de Pyrrhus, Éacide, ayant été chassé de son royaume par ses sujets mutinés et ayant péri de mort violente, l'enfant fut recueilli par Glaucias, roi d'Illyrie, et a douze ans, fut rétabli par ce prince (vers 307 av.J-C.-306 av. J-C.). Il fut de nouveau dépossédé par son cousin Néoptolème, qui avait dépouillé son père. Il s'attacha à la fortune d'Antigone et de Démétrios Poliorcète, combattit auprès d'eux à Ipsos (301) et s'annonça comme un grand capitaine. Après cette bataille, il fut amené comme otage en Égypte, où il épousa Antigonè, fille de Bérénice Ire. Cette alliance lui permit de rentrer en Épire et Néoptolème dut partager le pouvoir avec lui. Peu après, celui-ci mourait empoisonné.

C'est alors que Pyrrhus, à qui ses États pouvaient fournir à peine 10 000 soldats, résolut d'asservir le monde. Grâce à l'anarchie qui continuait de régner dans la succession d'Alexandre, il conquit la moitié de la Macédoine, puis le reste de cette contrée et finalement perdit à nouveau le tout (285), chassé par Lysimaque avec qui il avait partagé son royaume. Pyrrhus, bien qu'il fut un des plus formidable généraux de l'histoire, n'était qu'un piètre homme politique, qui ne savait pas exploiter ses avantages et qui dispersait bien trop souvent ses efforts. Venant en aide à Tarente, il intervint en Grande-Grèce contre Rome. Il pensait conquérir facilement l'Italie et ensuite, la Sicile et l'Afrique. C'est ce rêve d'ambition, auquel rétorqua le sage Cinéas, qu'a raconté Plutarque. La victoire d'Héraclée (280) qu'il remporta sur les Romains, épouvantés à la vue des éléphants, parut un instant lui donner raison. Une seconde victoire fut remportée à la bataille d'Ausculum (279) mais lui coûta si cher qu'il se fit appeler en Sicile par les cités grecques pour éviter un nouvel affrontement avec les Romains. Il aurait d'ailleurs déclaré, à l'issue de cette bataille : « Si nous devons remporter une autre victoire sur les Romains, nous sommes perdus ». Les victoires de Pyrrhus, si chèrement acquises sont à l'origine de l'expression « victoire à la Pyrrhus » qui désigne une bataille gagnée au prix de lourdes pertes.

Pyrrhus chassa ensuite les Carthaginois de Sicile, mais mécontenta les habitants de l'île qui le forcèrent à rembarquer. Les Carthaginois détruisirent une partie de sa flotte et les Romains, conduits par Curius Dentatus, l'écrasèrent à Bénévent (275). Il guerroya encore avec des succès divers en Grèce et en Macédoine, et fut tué, au cours d'une expédition contre Sparte, en pénétrant de vive force dans la cité d'Argos, par une tuile lancée de la main d'une vieille femme.

"Les coeurs les plus grands ont aussi les plus grandes peines".
Je crois que c'est de Théophile Gautier.

"Science sans conscience n'est que ruine de l'âme"
Rabelais